Berlusconi choisit le centre-droit pour faire survivre Forza Italia ?

Berlusconi choisit le centre-droit pour faire survivre Forza Italia ?

Que dit Berlusconi et que fait-il ? Les rayures de Damato

Les nouvelles de mais aussi de Silvio Berlusconi arrivent dans et dans les journaux comme les pioches de feu Francesco Cossiga dans la dernière année, à peu près, de son septennat au Quirinal : toujours à temps pour fracasser les premières pages, gâcher comme des fruits pourris pas mal d'articles, les réactualisant plusieurs fois, en faisant saccager certains irrémédiablement et improviser d'autres dans une course-poursuite effrénée entre les rédactions et souvent le Président de la République lui-même. Qui aimait appeler de temps en temps les rédactions pour vérifier les effets de ses sorties, obtenir les titres anticipés etc.

Au final, lui et nous étions vraiment épuisés, résignés à répéter le soir ou le lendemain soir. De temps en temps je reviens rêver de ces nuits comme dans un cauchemar. Et je crains que cela n'arrive aussi à l'ambassadeur Ludovico Ortona, quatre-vingts ans, qui depuis sa position quirinal de porte-parole devait paradoxalement se livrer mais en même temps contenir ce fleuve gonflé qu'était devenu le chef de l'Etat.

Heureusement pour lui et pour nous, Berlusconi vient d'être réélu seul sénateur de la République, mais il fait une belle concurrence, à sa manière, au regretté Cossiga dans ce début aventureux de la nouvelle législature en montant et démontant plus ou des trêves moins armées, déplaçant même des amis, au point d'être invité par certains de foi avérée comme Alessandro Sallusti à s'arrêter pour la charité, car – Libero imprimé en rouge sur la première page – "continue comme ça finit mal". Même pour Berlusconi, je crains, et pas que pour les autres, à commencer bien sûr par "Mme Meloni", puisqu'il a recommencé à appeler son ancien ministre de la Jeunesse avec une certaine distance, en attendant le poste de Premier ministre.

La circonstance atténuante que les amis du Cavaliere n'aient pas suffisamment confiance en Alessandro Sallusti pour l'invoquer publiquement pour qu'il cesse de le reconnaître dans ce plein de surprises et de révélations, de la liste des ministres aux lettres et cadeaux de Poutine, c'est que Forza Italia a encore besoin de son fondateur donc pour ne pas se dissoudre. Et que le centre-droit, à son tour, aurait encore besoin de Forza Italia pour ne pas être tout et seulement juste, contraint par les circonstances de gouverner dans le passage le plus difficile du pays, parmi les urgences de toutes sortes par rapport auxquelles peut-être même ceux géré par Mario pale Draghi, malheureusement retiré en fait prématurément.

Dans cette situation, "assurer un gouvernement au pays d'ici cette semaine n'est pas une option, mais une obligation, un devoir", a écrit le réalisateur Augusto Minzolini dans Giornale di famiglia de Berlusconi, en répétant un peu, si je me souviens bien, les mots Draghi lui-même lors de ses débuts en tant que Premier ministre devant les Chambres en 2021.

Mais le problème de Gorgia Meloni dans ce – je le répète – début de législature est précisément de former un gouvernement, avec une majorité solide et bien définie, après un passage électoral avec lequel ils voulaient clore la saison des exécutifs d'un certain anomalie. Le problème n'est quand même pas de former un gouvernement et de le lancer comme un objet mystérieux sur un Parlement où, d'ailleurs, l'une des deux chambres ne s'est même pas dotée des nouvelles dimensions réduites avec un règlement actualisé. Un tel gouvernement – je crains pour ceux qui veulent le mettre dans le compte, dérivant peut-être du folklore de ce qui se passe au centre-droit – ne serait pas autorisé par Mattarella, qui est chargé de le nommer, bien que soulagé – comme je l'ai écrit hier – par la décision du même centre de participer ensemble aux consultations rituelles au Quirinal .


Cet article est une traduction automatique de la langue italienne d’un article publié sur le magazine Début Magazine à l’URL https://www.startmag.it/mondo/berlusconi-piccona-il-centrodestra-per-far-sopravvivere-forza-italia/ le Thu, 20 Oct 2022 03:58:34 +0000.