Le rythme actuel des changements est insuffisant pour atteindre l'objectif de l'UE de réduire de moitié le nombre de décès d'ici 2030. Voici toutes les données sur les accidents de la route en Italie et en Europe présentées par la Commission européenne dans le cadre de la "Charte européenne de la sécurité routière". L'article de Marco Foti
La Commission européenne, dans le cadre de la "Charte européenne de la sécurité routière" et à l'occasion des Prix d'excellence en sécurité routière, a publié des données sur les accidents de la route pour 2021, suite à la publication de données préliminaires en mars 2022. Les chiffres collectés par la DG Les transports affichent un chiffre toujours alarmant : un peu moins de vingt mille personnes sont mortes sur les routes de l'UE l'année dernière, avec une augmentation de 6 % par rapport à 2020, lorsque, cependant, l'effet de la pandémie a eu un impact important sur l'analyse des données, mettant en évidence une réduction de la mobilité sur tout le périmètre européen.
Les données analysées par la Commission mettent en évidence une forte baisse des taux d'accidents (nombre de décès en valeur absolue et par million d'habitants), qui fait suite à une baisse annuelle de 17 % entre 2019 et 2020.
La valeur médiane du nombre de décès par million d'habitants enregistrés en 2021 est égale à 45. Par rapport à cet indicateur, certains États membres ont enregistré une augmentation significative des décès sur les routes qui nécessitent une analyse plus approfondie et une action urgente de l'Union européenne. . Le taux de mortalité varie de 15/million en Norvège et 20/million en Suède à 81/million en Bulgarie et 92/million en Roumanie (classement qui exclut les pays comptant moins de 100 décès par an).
L'Italie dépasse la valeur médiane de l'UE avec un taux de mortalité de 49 décès par million d'habitants, contre 45/million hab. de l'Union. Un aspect que la Commission ne sous-estime pas et qui nécessite une attention particulière car, mais qui s'applique à tous les pays, le rythme actuel des changements est insuffisant pour atteindre l'objectif de l'UE de réduire de moitié le nombre de décès d'ici 2030.
À cette fin, la Commission a publié une série de rapports au sein de son Observatoire européen de la sécurité routière, fournissant des données et des analyses détaillées sur une série de sujets liés à la sécurité routière tels que les enfants, les personnes âgées, les conducteurs novices, les cyclistes, la conduite en état d'ébriété, les appareils de mobilité personnelle, la distraction du conducteur et le port de la ceinture de sécurité.
Des sujets sur lesquels, même dans ce magazine, l'attention a été attirée ces dernières années en termes de suggestions et d'interventions dans le domaine de l'innovation des infrastructures technologiques (IoT et blockchain) pour soutenir la mobilité.
L'état actuel du réseau routier primaire et secondaire italien nécessite des mesures de sécurité et une surveillance continue, en raison de la construction datée. Comme indiqué par le MIT par le biais du décret ministériel no. 430 de 2019, il est nécessaire d'activer une cartographie "intelligente" des infrastructures en construisant un registre informatisé des travaux actuels (basé par exemple sur la technologie blockchain) qui identifie leur âge, les paramètres structurels, l'état de "santé", l'historique de maintenance interventions.
Dans ce sens, le Ministère des Infrastructures et de la Mobilité Durable a engagé le processus d'organisation de l'Archive Nationale Informatique des Travaux Publics. L'AINOP doit cependant être en mesure d'établir un "cadastre" organisé par classes de risques potentiels et priorités relatives des interventions de maintenance à mettre en œuvre, avec l'installation simultanée d'un système de capteurs adéquat utilisant le Structural Health Monitoring (SHM ), qui peut également être résumées dans le Plan national de relance et de résilience.
Comme, comment?
En encourageant les routes intelligentes sur les routes italiennes, parallèlement à l'innovation technologique, et de nouvelles politiques sur les infrastructures routières pour lesquelles un processus de transformation numérique a commencé visant à introduire des plateformes d'observation et de surveillance du trafic, des modèles de traitement de données et d'informations, des services avancés aux gestionnaires d'infrastructures, le Administration publique et usagers de la route.
L'Europe a des années-lumière d'avance sur ces questions, l'Italie a connu des difficultés ces dernières années. Le PNRR n'alloue que 200 millions d'euros pour l'ensemble du territoire italien qui doit d'abord couvrir 6 000 km d'autoroutes et ensuite les routes nationales. Des investissements ridicules pour une nation qui doit poursuivre le développement et le progrès du territoire. La revue du PNRR pourrait trouver une synthèse en satisfaisant ces criticités (datées).
Cet article est une traduction automatique de la langue italienne d’un article publié sur le magazine Début Magazine à l’URL https://www.startmag.it/smartcity/quanti-incidenti-stradali-avvengono-ogni-anno-in-italia-ed-europa-risponde-la-commissione-europea/ le Sat, 12 Nov 2022 07:14:51 +0000.