Symbiose Ligue-UDC, l’UE déçoit Draghi sur les migrants, chinoiserie de Prodi, le Vatican fait zan-zan

Symbiose Ligue-UDC, l'UE déçoit Draghi sur les migrants, chinoiserie de Prodi, le Vatican fait zan-zan

Pas seulement Zan, Vatican, Draghi et les migrants ddl. Faits, noms, chiffres, curiosités et controverses. Des bouts de revue de presse dans les tweets de Michele Arnese, directrice de Start

PARLEMENT ET GOUVERNEMENT DU VATICAN SCULACCIA SUR DDL ZAN

LES COTS DES NAVIRES DE QUARANTAINE

DOSSIER DES MIGRANTS

PRODI ENTRE LES USA ET LA CHINE

REVENU DE CITOYENNETÉ SUPPRIMÉ

GROUPE DE SANTÉ

TRUMP ET BIDEN VU PAR RAMPINI

LE FAIT CHOISIT LES LIONS DE LA LIBERTÉ

QUISQULIE & PINZILLACCHERE

+++

EXTRAIT DE L'ARTICLE DU CORRIERE DELLA SERA SUR LE VATICAN ET DDL ZAN :

Dans le document – bien que rédigé de manière " sobre " et " légitime " – les inquiétudes du Saint-Siège : " Certains contenus actuels de la proposition législative en cours d'examen au Sénat – lit le texte – réduisent la liberté garantie à l'Église catholique par l'article 2, paragraphes 1 et 3 de l'Accord de révision du Concordat ".

Ces paragraphes sont précisément ceux qui, dans la modification de l'accord de 1984 entre l'Italie et le Saint-Siège, assurent d'une part à l'Église « la liberté d'organisation, de culte public, d'exercice du magistère et du ministère épiscopal » ( c'est le paragraphe 1); et, d'autre part, ils garantissent « aux catholiques et à leurs associations et organisations la pleine liberté de réunion et de manifestation de la pensée par la parole, l'écrit et tout autre moyen de diffusion » (paragraphe 2). Et ils sont le véritable nœud du problème.

Selon le Vatican, en effet, certains passages du projet de loi Zan ne remettraient pas seulement en cause la « liberté d'organisation » susmentionnée – par exemple, l'article 7 du projet de loi serait mis en cause, ce qui n'exempterait pas les écoles privées d'organiser des activités sur le occasion de la nouvelle Journée nationale contre l'homophobie, la lesbophobie et la transphobie – ; mais ils menaceraient même, dans un sens plus général, la « liberté de pensée » de la communauté catholique.

Dans la note, il y a précisément une préoccupation concernant les comportements discriminatoires, avec la crainte que l'approbation de la loi puisse même comporter des risques de nature judiciaire. "Nous demandons que nos préoccupations soient acceptées", est en effet la conclusion du document remis au gouvernement italien.

Le même jour, selon le Corriere della Sera, la note a été remise par les conseillers de l'ambassade d'Italie auprès du Saint-Siège au Cabinet du ministère des Affaires étrangères de Luigi Di Maio et au Bureau des relations avec le Parlement de la Farnesina. . Et maintenant, il est prévu qu'il soit porté à l'attention du Premier ministre Mario Draghi et du Parlement.

Mais que pourrait-il se passer maintenant ? En théorie, selon le Concordat, on pourrait aussi être confronté à l'hypothèse où, face à un problème de bonne application du Pacte, on aboutirait à l'activation de la « commission paritaire » (prévue par l'article 14 ). Mais il est trop tôt pour tirer des conclusions. La seule certitude est que nous sommes au-delà d'une simple persuasion morale.


Cet article est une traduction automatique de la langue italienne d’un article publié sur le magazine Début Magazine à l’URL https://www.startmag.it/mondo/vaticano-zan-zan-lega-udc-giustizia-draghi-migranti/ le Tue, 22 Jun 2021 07:15:47 +0000.