Aifa ballets sur le mix des vaccins, la Vérité sur Astrazeneca, le Soleil sur les obligations européennes

Aifa ballets sur le mix des vaccins, la Vérité sur Astrazeneca, le Soleil sur les obligations européennes

Pas seulement Astrazeneca. Faits, noms, chiffres, curiosités et controverses. Des bouts de revue de presse dans les tweets de Michele Arnese, directrice de Start

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LES NUMÉROS DE L'UE OBLIGATOIRE

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EXTRAIT D'UN ARTICLE DU SOLE 24 ORE SUR L'OBLIGATION DE NOUVELLE GÉNÉRATION DE L'UE :

La Commission européenne a procédé hier à la première émission obligataire du paquet de 750 milliards d'euros qui servira à financer le projet communautaire connu sous le terme anglais NextGenerationEU. La vente aux enchères a été un grand succès sur les marchés, confirmant à quel point l'Europe est un investisseur rémunérateur dans le monde. La présidente de l'exécutif communautaire Ursula von der Leyen a évoqué une "journée historique pour notre Union européenne".

L'émission était égale à 20 milliards d'euros avec une obligation à dix ans. Lors d'une conférence de presse ici à Bruxelles hier soir, le commissaire au budget Johannes Hahn a déclaré que la demande était sept fois supérieure à l'offre. D'un point de vue géographique, plus de 50 % des investisseurs appartiennent aux pays de l'Union européenne ; tandis que 13% viennent d'Asie et des Amériques. "Une part importante" est allée à la Chine, a noté le commissaire.

Du côté des investisseurs, 25 % du montant est allé aux banques centrales, 37 % aux gestionnaires de fonds, 11 % aux fonds d'assurance. "Je suis très content du type d'investisseur qui a émergé lors de la vente aux enchères", a déclaré le commissaire (parmi les banques du consortium IMI-Intesa Sanpaolo). Selon Bruxelles, "il s'agit de la plus grosse émission obligataire institutionnelle en Europe, de la plus grosse transaction institutionnelle à tranche unique et du plus gros montant que l'UE ait jamais levé en une seule transaction".

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EXTRAIT D'UN ARTICLE DU SOLEIL 24 HEURES SUR LES TAUX DES OBLIGATIONS DE L'UE :

L'Italie a les plus grands avantages potentiels en se finançant par Bruxelles, l'Allemagne les plus grands inconvénients. Mais aussi la France et les pays "forts". Voyons pourquoi. L'obligation à dix ans émise hier par Bruxelles a un rendement de 0,086%. Cela signifie que les pays qui se financent aujourd'hui de manière autonome sur le marché des obligations d'État en payant des taux plus élevés ont un avantage à se financer auprès de l'Europe : parce qu'ils coûtent moins cher. Au moins 6 pays de la zone euro sont dans cette situation, de Chypre (0,327%) à l'Italie (0,76%). D'autres pays, en revanche, se financent à des taux comparables à ceux de Bruxelles (par exemple la France), tandis que 4 paient des taux inférieurs sur le marché des obligations d'État. L'Allemagne par exemple (-0,26 %) Bien que le calcul ne soit pas si simple (car l'Union européenne ne transférera pas les fonds levés vers les pays membres au taux à dix ans d'hier mais au taux moyen de ses obligations calculé tous les 6 mois), sur le fond, peu de choses changeront : l'Italie est le pays de la zone euro avec le meilleur rapport coût-efficacité pour puiser dans les ressources européennes, tandis que l'Allemagne est celui qui est le plus désavantagé. En revanche, il est plus difficile d'établir la convenance pour les pays qui n'ont pas l'euro, car il faut aussi considérer le coût du dérivé nécessaire pour transformer les emprunts européens dans leur monnaie locale. émettre moins d'obligations d'État qu'elles n'en auraient placé si le Fonds de relance n'avait jamais existé. Cela aide : des émissions d'obligations plus faibles signifient moins d'offre, ce qui a tendance à augmenter les prix des obligations d'État et à maintenir les rendements bas. Et bien : étant donné que l'Italie utilisera environ 80 milliards d'euros sur les 191 du Fonds de relance pour financer des travaux qu'elle aurait réalisés en levant des fonds avec le BTp normal, cela signifie que d'ici 2026 le pays émettra quelque chose comme 80 milliards de moins que BTp par rapport au nombre qu'elle aurait placé si le fonds européen n'avait jamais existé. Cela aide, et il y a un autre problème : les financements européens ne sont pas soumis à la volatilité des marchés. Si une nouvelle crise du spread sur BTp survenait à l'avenir, les fonds de l'UE resteraient en effet ancrés sur des taux européens bas. « Nous avons tout intérêt à réduire l'exposition au marché et à l'augmenter vis-à-vis de l'Union européenne – observe Fabrizio Pagani, économiste en chef de Muzinich et ancien chef du secrétariat technique du Mef -. Du point de vue de la gestion des risques, c'est rationnel ».


Cet article est une traduction automatique de la langue italienne d’un article publié sur le magazine Début Magazine à l’URL https://www.startmag.it/mondo/aifa-cts-vaccini-astrazeneca-bond-ue/ le Wed, 16 Jun 2021 07:13:06 +0000.