Les failles de la loi sur le travail intelligent pour les travailleurs fragiles

Les failles de la loi sur le travail intelligent pour les travailleurs fragiles

Intervention de Francesco Comellini sur ce qui ne va pas avec la loi, entrée en vigueur hier, qui comprend également des indications pour le travail intelligent

Aujourd'hui la loi 21 septembre 2022, n. 142 de Conversion en loi, avec modifications, du décret-loi 9 août 2022, n. 115, contenant des mesures urgentes dans le domaine de l'énergie, de l'eau d'urgence, des politiques sociales et industrielles, qui, entre autres mesures, a prolongé jusqu'au 31.12.2022, quoique partiellement , les mesures de protection des travailleurs fragiles.

TRAVAIL INTELLIGENT

L'article 23-bis introduit par la loi de conversion, prolonge jusqu'au 31/12/2022 le travail agile pour les sujets fragiles visés à l'article 10, paragraphe 1-ter, du décret-loi 24 mars 2022, n. 24, converti, avec modifications, par la loi 19 mai 2022, n. 52, qui à son tour a étendu les mesures concernant le travail agile pour les sujets (fragiles) visés à l'article 26, paragraphe 2-bis, du décret-loi du 17 mars 2020, n. 18, converti, avec modifications, par la loi 24 avril 2020, n. 27, dont la deuxième phrase qui se lit "En vue d'assurer le remplacement du personnel enseignant, éducatif, administratif, technique et auxiliaire des établissements d'enseignement qui bénéficient des prestations (…)".

L'extension en cours prévoit donc une couverture économique égale à 18.660.000 euros pour l'année 2022 nécessaire pour garantir le remplacement du seul personnel autorisé à travailler en smart working sur la base des conditions de fragilité constatées par la structure publique compétente.

Attention car la prolongation actuelle en plus d'avoir créé un décalage horaire dans les protections qui va du 1/7/2022 au 21/9/2022 et pour lequel aucune amnistie n'est prévue pour les éventuelles périodes d'absence du travailleur qui pour ne pas encourant le risque de contagion s'il avait bénéficié de congés, de congés ou de maladie (ces derniers avec érosion de la durée contractuelle du comportement), apparaît limité en ce qui concerne le remplacement du personnel placé en smart working, aux UNIQUEMENT enseignants, pédagogiques, administratifs, techniques personnel et auxiliaire des établissements d'enseignement qui en bénéficient, donc à l'exclusion des secteurs non liés.

Par ailleurs, la prorogation actuelle au 31/12/2022 NE PROLONGE PAS la péréquation à l'hospitalisation des périodes d'arrêt de travail du travailleur fragile, prévue par l'article 26, alinéa 2, du décret-loi du 17 mars 2020, avec la effet que le travailleur déclaré fragile placé en smart working n'est pas considéré comme malade s'il exerce une fonction exécutable à distance, en application de la disposition de l'alinéa 2-bis précité qui prévoit que les travailleurs fragiles "effectuent normalement leur travail de manière agile manière, également par l'exercice d'un travail différent inclus dans la même catégorie ou domaine d'emploi, tel que défini par les conventions collectives en vigueur, ou l'exercice d'activités de formation professionnelle spécifiques, même à distance ".

Le problème demeure évidemment pour les travailleurs qui, bien que fragiles, effectuent une prestation de travail qui ne peut être effectuée à distance qui, pour être physiquement dispensés d'être au bureau, doivent nécessairement engager une procédure, à la charge de la gestion du personnel, qui implique l'exercice d'un emploi différent inclus dans la même catégorie ou domaine d'emploi ou la réalisation d'activités spécifiques de formation professionnelle même à distance et donc l'équipement informatique nécessaire par l'Administration.

ENFANTS DE MOINS DE 14 ANS

Paragraphe 2 du même article 23-bis introduit par la loi de conversion, prorogation jusqu'au 31.12.2022, le délai prévu par l'article 10, paragraphe 2, du décret-loi du 24 mars 2022, n. 24, converti, avec modifications, par la loi 19 mai 2022, n. 52, en référence UNIQUEMENT à la disposition visée au point 2 de l'annexe B annexée au même décret-loi ou à l'article 90, paragraphes 1 et 2, du décret-loi du 19 mai 2020, n. 34, converti, avec modifications, par la loi 17 juillet 2020, n. 77, Dispositions sur le travail agile pour les travailleurs du secteur privé NE S'APPLIQUE DONC PAS AU SECTEUR PUBLIC.

En effet, le paragraphe 1 de la règle élargie prévoit "(…) les parents qui sont employés par le secteur privé et qui ont au moins un enfant de moins de 14 ans, à condition qu'il n'y ait pas d'autre parent dans la cellule familiale bénéficiant d'un revenu outils d'accompagnement en cas de suspension ou d'arrêt de travail ou qu'il n'y a pas de parent inactif, ont le droit d'effectuer le travail de manière agile même en l'absence d'accords individuels (…)".

Encore une fois, le même paragraphe, dont la validité a été prolongée, prévoit que "le même droit d'effectuer des services de travail en mode agile est reconnu, sur la base des évaluations des médecins compétents, également aux travailleurs – les plus exposés au risque d'infection par le virus du SRAS -CoV-2, en raison de l'âge ou de la condition de risque découlant de l'immunosuppression, des résultats de pathologies oncologiques ou de l'exécution de thérapies salvatrices ou, en tout cas, de comorbidités pouvant caractériser une situation de risque supérieur constaté par le médecin compétent, dans le cadre de la surveillance sanitaire visée à l'article 83 du présent décret, à condition que cette méthode soit compatible avec les caractéristiques de l'exécution du travail ».


Cet article est une traduction automatique de la langue italienne d’un article publié sur le magazine Début Magazine à l’URL https://www.startmag.it/sanita/le-falle-della-legge-sullo-smart-working-per-i-lavoratori-fragili/ le Thu, 22 Sep 2022 08:42:44 +0000.