Les banques, parce que les factions entre managers sur le travail intelligent se multiplient

Les banques, parce que les factions entre managers sur le travail intelligent se multiplient

Comment gérer le travail intelligent ? Le discours de Lando Maria Sileoni, secrétaire général de Fabi

Au sein des banques, mais je pense que c'est aussi valable pour d'autres entreprises, le smart working a divisé et créé des groupes de managers opposés.

Le premier groupe est surtout représenté par les cadres qui souhaitent une utilisation très large du numérique et dans ce cas également une utilisation très large du smart working. Par conséquent, le travail numérique et intelligent marchera ensemble.

Le deuxième groupe, comme dans les meilleurs supporters, Curva Sud contre Curva Nord, est représenté par les cadres qui ont pour seul objectif de vendre. Vendre des produits financiers, des services, ceux qu'ils aiment avec le contact physique avec les clients car ils sont extrêmement utiles pour atteindre leurs objectifs.

Si le syndicat n'est pas attentif et réactif, le smart working peut devenir un outil pour réduire les droits des travailleurs, pour tenter de les marginaliser de la vie de l'entreprise et, surtout, pour obtenir, auprès des entreprises, des économies de toutes sortes avec des baisses de coûts indiscriminées. Ce sera donc le top management des entreprises qui décidera, mais certainement le syndicat devra jouer un rôle de protection et de garantie et non celui de simple spectateur.

Bref, le travail intelligent est un sujet à gérer et à partager avec les entreprises dans l'intérêt exclusif des travailleurs. Il est vrai que les changements organisationnels seront profonds, à la fois pour l'introduction du numérique et pour un changement radical des modèles d'organisation. Mais le facteur humain restera fondamental et central pour nous. Le vrai risque est représenté par un abus du travail intelligent, à la fois pour réduire les emplois et pour une réduction radicale des coûts et pour créer les conditions d'une délocalisation sauvage.

Nous avons défini un accord avec ABI et les banques qui, en dérogation au contrat national de gestion de l'urgence Covid, a permis une généralisation du smart working. Ce choix – il faut le dire clairement – a été pris pour protéger à la fois les travailleurs et les clients du Covid. Dans le secteur bancaire, nous voulons que les employés puissent choisir librement et en toute indépendance s'ils souhaitent continuer à travailler intelligemment ou retourner au bureau. Aucune obligation ne sera tolérée. En effet, il s'y opposera.


Cet article est une traduction automatique de la langue italienne d’un article publié sur le magazine Début Magazine à l’URL https://www.startmag.it/economia/banche-perche-spuntano-fazioni-tra-dirigenti-sullo-smart-working/ le Tue, 27 Jul 2021 07:09:41 +0000.